227,5 millions de tonnes de déchets… C’est ce que génère chaque année le secteur du BTP en France. 46 millions viennent uniquement du bâtiment, ce qui en fait le plus gros producteur de déchets de l’hexagone !
S’il est difficilement envisageable que le secteur du bâtiment produise moins de déchets, il est par contre totalement à notre portée d’en revaloriser le maximum !
En 2020, la loi de transition énergétique souhaite atteindre un taux de recyclage de 70% pour les déchets du BTP. Pour y parvenir, l’économie circulaire repose notamment sur :
Ces dernières années, les dépôts sauvages (illégaux) se sont multipliés. Ils représentent une pollution visuelle mais aussi une pollution bien réelle des sols.
En 2012,
2,4 millions de tonnes de déchets dangereux
ont été recensées.
En décembre 2018, une opération #AlertePollution a généré – à elle seule – plus de 580 signalements de décharges sauvages en France. Principalement dans les forêts, les bois communaux, le long des routes et gares TGV, mais aussi sur des terrains inoccupés.
Quelques-unes des raisons à l’origine de ces dépôts sauvages :
Ces décharges sauvages sont un véritable fléau écologique et économique touchant tout le territoire. D'après un article du Monde, on estime que les décharges sauvages coûtent entre 350 et 420 millions d’euros chaque année aux communes en enlèvement et nettoyage.
Tous les déchets que nous collectons sont déposés dans des déchetteries professionnelles partenaires situées au plus près du chantier dont ils sont issus.
Les déchets triés en amont par nos clients (gravats, bois, ferraille, carton, plastique,...) sont collectés et déposés dans la bonne filière de revalorisation. Ils sont ainsi réemployés ou revalorisés en tant que matière première.
Les déchets mélangés en amont par nos clients sont, pour leur part, triés en déchetterie professionnelle (avec une moindre finesse) afin d’être renvoyés dans la bonne filière de revalorisation. Les déchets restants seront alors valorisés en énergie thermique (incinération) ou enfouis sous terre.
En chiffres Les Ripeurs, c’est :